Les fascistes, Macron, l’État… C’est pas la classe
Plus de 13 millions de voix. C’est le score à peine croyable qu’une candidate fasciste a réussi à obtenir au second tour de l’élection présidentielle. Le vote massif pour son projet, intégralement basé sur la préférence nationale, en dit long sur la pénétration des idées racistes dans la société et la banalisation de l’extrême droite. Quant au rejet de ce projet, s’il reste numériquement plus important, il est beaucoup moins homogène. Ce qui a dominé, c’est la [...]